Alice E. Bloom [ABS] L'admin pas respectée, feignante et aussi Ancienne :)
Messages : 1183 Date d'inscription : 18/08/2010 Age : 27 Localisation : A Weird Pension
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| Sujet: Jemmy Cliffer Lun 29 Oct - 8:37 | |
| Jemmy Cliffer
[Libre]
Informations de base un petit sous titre ici . | Nom: Cliffer Prénom: Jemmy Sous Prénom: [Emilie Âge: 10 ans Race: Oublié Pouvoir: (si vous êtes un Oublié) Vois l’histoire des gens lorsqu’elle les regarde dans les yeux Sexe: Féminin Préférence sexuelle: Garçons Célébrité prise en Kit: Mackenzie Foy |
Un mot en plus ? Expliquations un petit sous titre ici . - Caractère:
Joyeuse. Malgré tout ce que la vie m’a fait endurer : maladie, décès, exil, je reste joyeuse. Je ne veux pas laisser le passé m’emporter. Je veux vivre le moment présent comme me l’avait appris ma défunte mère. J’aime jouer dehors, même quand il pleut. J’aime la nature, ses qualités et ses défauts. Je pense que c’est pour cela que je ne déteste pas autant les monstres de la forêt, parce que je me dis qu’ils font partis de la nature. Cependant, je ne déteste pas ce qui n’est pas naturel ! J’aime beaucoup les Eternels, enfin ceux qui ne se prennent pas pour les Dieux tous puissants, et certaines personnes qui sont dans le même cas que moi Oublié. Je ne déteste qu’une seule chose : le mensonge. Je préfère la vérité. On dit souvent que le mensonge fait plus mal que l’honnêteté, et c’est vrai. Ah oui, et j’ai oublié de vous dire, je suis très têtue et un peu ronchon sur les bords, mais bon, ce n’est pas très important je pense !
- Look:
: J’ai les cheveux de ma mère. Châtains clairs. Mes yeux ? Je pense que ce sont ceux de mon père, enfin c’est ce que me disait ma mère à chaque fois qu’elle me regardait ! Mon sourire ? Et bien il est de moi ! J’ai encore quelques dents de laits, mais j’ai malgré tout une bonne dentition, ce dont je suis assez fière ! Je suis petite, ce qui est un fait que les gens aiment bien prendre pour me taquiner.
- My story:
Allongée dans mon lit, je souffrais. J’ouvris difficilement les yeux et aperçut une forme derrière le rideau en plastique qui me coupait du monde. Ma mère. Elle s’inquiétait pour moi. Je voulais aller la voir, la serrer dans mes bras, la réconforter, mais je n’avais pas le droit. Je n’avais pas le droit de l’approcher. Une femme en combinaison passa le rideau. Elle surveilla mon rythme cardiaque, et d’autres trucs de médecins que je ne comprenais pas. Elle me posa deux ou trois questions pour vérifier que je n’étais pas tombée dans la folie, puis elle partit, me laissant à nouveau seule. Les jours passèrent et la seule compagnie que j’avais n’était autre que cette infirmière. Me mère, elle, restait derrière le rideau, me regardant souffrir. Puis un jour, elle n’était plus là. Je ne voyais plus sa forme. Je demandais à l’infirmière où était ma maman, mais elle ne me répondit pas. J’étais tellement fatiguée que je ne relevai pas son silence et laissai passer. Les jours continuèrent, je demandais à chaque fois pourquoi ma mère n’était pas derrière le rideau, mais l’infirmière ne me répondait pas. Elle restait silencieuse. Et un jour, lorsque je me réveillai, je découvris que le rideau avait été enlevé. Je tournai la tête et aperçut l’infirmière sans sa combinaison. Je lui demandai ce qui se passait et elle me répondit, un sourire aux lèvres : « Nous avons découvert que seuls les gens étant du groupe O- sont touchés par la maladie » Puis elle me rassura en me disant que je survivrai. Mais je ne répondis pas à cette annonce. « Je peux voir ma mère maintenant ? » Cette fois-ci, elle me répondit. Mais pas tout de suite, elle attendit. Un silence pesa sur la pièce avant qu’elle m’annonce d’une voix faible et tremblante : « Ta mère fumait beaucoup et… elle avait développé un cancer du poumon. Malheureusement, lorsque nous l’avons découvert, il était trop tard. Je suis désolée » Une larme coula sur sa joue, et je me dis qu’elle était sincère. Elle devait avoir de la pitié pour moi. En même temps, ne seriez-vous pas triste si une gamine de dix ans tombe malade, ne puisse plus revoir sa mère qui meurt sans qu’elle ait pu lui dire au revoir ? Et bien je pense que si vous aviez un cœur oui. Les jours passèrent. Mon état physique s’améliorait, mais pas mon état moral. Je pleurai chaque nuit. Et un jour, une dame vint à ma rencontre. Les médecins m’avaient retirée toutes les machines que j’avais eues au début de ma maladie, et j’en étais à un point où je me demandais pourquoi je restais encore dans ce lit. Elle était vieille et respirait la sagesse. Elle me semblait sympathique et dès que je l’ai vu, je l’aimais bien. Elle se présenta à moi et me dit qu’elle est là pour effectuer une série de test avant de me faire sortir. Elle me posa alors des questions sur mon état physique, et me demanda si je souffrais encore beaucoup du décès de ma mère. Une fois l’interrogatoire terminé, elle sortie. C’est alors que je vis passer un homme en fauteuil roulant qui ne cessait de crier un nom. Chelsea. Les médecins l’empêchèrent de crier et de déranger les autres patients, mais le malade continuait de crier. Je croisai son regard, et une foule d’images arrivèrent dans mon esprit. Je vis alors une jeune femme rousse qui souriait à l’homme. Elle était enceinte. Ils étaient heureux. Mais un jour, la jeune femme disparut sans laisser de traces. Elle changea son nom pour qu’on ne la retrouve jamais, mais l’homme ne l’avait pas oubliée. Et il l’aimait toujours comme il aimait l’enfant que cette femme portait en elle. « Qui est cet homme ? »je demandais à la vieille femme. « Un fou qui cherche une femme imaginaire, ne t’inquiètes pas, il ne t’embêtera pas » me répondit-elle avec un large sourire. « Elle existe. Chelsea existe » j’annonçais en la regardant droit dans les yeux. La vieille femme pris peur et partie prévenir ses supérieurs. Elle leur dit ce que je lui avais avoué. Je sortis trois jours plus tard de l’hôpital. On ne m’amena pas dans un orphelinat ou dans un foyer d’accueil, non. On m’emmena à Weird Pension, un endroit où on y laissait les gens comme moi. Les gens avec des pouvoirs incontrôlables.
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